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L’Europe

Dans un second temps, parmi les opposants de ce clonage, on a l’Europe. En 2016, soit 20 ans après la naissance du premier animal cloné, une brebis nommée Dolly, qui a eu lieu le 5 juillet 1996 en Ecosse, l’Europe garde le même avis concernant le clonage des animaux. En effet, le Parlement européen a adopté une législation le mardi 8 septembre 2015 bannissant, dans l'Union Européenne, le clonage d'animaux dont le but est de les utiliser dans l'élevage et l'alimentation ainsi que l'importation de leur progéniture et de leurs produits en Europe.


Les pays tiers devront également adopter un système de certification pour garantir que leurs produits exportés vers l'Europe ne soient pas issus du clonage d’animaux, parce qu’il s'est répandu dans tout l'océan Atlantique. Le Parlement mettra en avant les problèmes d'éthique et de bien-être des animaux «d'élite», clonés dans le but de produire plus de viande ou de lait. Cela reviendrait à considérer l’animal comme un simple objet avec une valeur marchande. Mais il parlera aussi des raisons scientifiques qui vont à l’encontre du clonage des mammifères.


Si l’on regarde à une échelle plus petite, on trouve parmi ces acteurs opposants BEUC qui est le Bureau européen des associations de consommateurs qui s’appuie sur l’idée que de la nourriture provenant d’enfants, de progéniture d’animaux clonés puissent finir dans nos assiettes, qui n’est pas très humain.




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